18 ans, Service civique, Laval
Découvrez le témoignage de Théo, étudiant en bachelor management du sport à Win Sport School Laval. Passionné de basket, il a rejoint le bts sport en septembre 2024.
Je découvre le bachelor management du sport
Est-ce que tu peux te présenter ?
Je m'appelle Théo Laurent, j'ai 18 ans. Je suis étudiant à Win Sport School Laval, en première année de bachelor management du sport. Parallèlement, je fais du basket et je suis arbitre officiel depuis maintenant deux ans. Le bachelor management du sport est une formation concrète et professionnalisante.
Pourquoi avoir choisi le bachelor management du sport de Win Sport School Laval ?
J'ai choisi le bachelor management du sport de Win Sport School Laval parce que j'adore le sport. Je suis passionné par le sport et c'est pour moi l'occasion d'apprendre de nouvelles choses dans cet univers. Je veux savoir ce qui se passe derrière les joueurs, les matchs. Je veux me perfectionner en venant à Win Sport School Laval.
Est-ce que tu peux présenter le bachelor management du sport ?
Il y a une ambiance conviviale, respectueuse et où tout le monde essaye de nous aider et de nous élever vers le haut. Ça s'est très bien passé.
Pour ma troisième année, je pense m'orienter vers l'événementiel. J’aime organiser des événements sportifs, et le bachelor management du sport me donne les bases pour cela.
Pourquoi avoir choisi d'être en service civique pour cette année de bachelor management du sport ?
J'ai choisi d'être en service civique dans un club de basket pour ma première année de bachelor management du sport. Je voulais avoir une expérience professionnelle dans le domaine de la communication, du marketing, du sponsoring dans le sport. C’est, également, pour avoir plus de clés et de contacts pour m'orienter vers ce que je voudrais faire plus tard.
Pour ma deuxième année de bachelor management du sport, j'ai potentiellement un travail dans mon club de basket de Louverné. Cela me permettra d’avoir un autre point de vue, une autre expérience professionnelle.
Est-ce que tu peux présenter tes missions au sein de ton club de basket ?
Mes missions en service civique portent sur la communication sur Instagram, créer les affiches pour les matchs. Lorsque l’on organise des événements comme des trois contre trois, Octobre Rose, je suis en charge de la préparation et organisation.
Je suis en relation avec l'alternant qui est dans ce club. Il m'aide beaucoup et me forme sur la communication et le sponsoring. C’est complémentaire avec ce que j’apprends en bachelor management du sport.
Est-ce que tu sais un petit peu ton projet professionnel ?
Je n’ai pas de réel projet en tête. Ce sera dans l'événementiel, dans le basket si possible, car ce sport me passionne. C'est un sport où je commence à connaître beaucoup de choses. Mais je ne ferme pas les portes à d'autres sports. Le bachelor management du sport me donne une base solide pour construire mon avenir.
Que préfères-tu dans le basket ?
C'est l'esprit de compétition, l’idée de vouloir gagner absolument, d'être meilleur à chaque fois, de donner le meilleur de soi-même pour pouvoir faire en sorte de gagner. C’est un sport collectif. Le basket, c’est ça : le collectif d’abord plus que l'exploit personnel.
Pourquoi tu as choisi de devenir arbitre officiel ?
J'ai choisi de devenir arbitre officiel car j'ai découvert cela étant jeune. Quand j'avais huit ans, j'ai commencé à arbitrer en club sur des petits niveaux. Ça m'a tout de suite intéressé d'avoir ce contrôle du jeu, de faire respecter le règlement sur le terrain et de faire en sorte qu'une rencontre se passe bien.
Je veux devenir acteur dans le sport
Quelles sont les étapes pour devenir arbitre officiel ?
Il faut passer une formation. Pour être arbitre départemental, c’est sur un an, avec plusieurs jours de formation. Il y a du théorique où il faut appliquer le règlement en situations de jeu… Nous allons aussi sur le terrain, on apprend à gérer sa prestance. C’est essentiel en tant qu'arbitre. On apprend à siffler en fonction de différentes actions de jeu. Au bout d'un an on passe un diplôme et on devient arbitre officiel départemental.
Quelles sont les évolutions d’un arbitre officiel au basket ?
On peut évoluer vers du niveau régional. Il y a plusieurs niveaux en région. Pour le premier niveau, on peut arbitrer jusqu’à la R2 féminine et la R3 masculine. Puis, on monte sur de la R2 masculine et de la prénationale féminine. On monte petit à petit jusqu'au plus haut niveau. Si on est assez passionné, on arrivera à atteindre ce niveau.
Quel est ton objectif ?
Mon objectif est de me perfectionner, d'être à l'aise sur le terrain en tant qu'arbitre. Je ne veux pas griller les étapes en allant trop vite. Je préfère rester arbitre départemental encore une ou deux saisons avant de monter petit à petit et être sûr de mes capacités pour pouvoir progresser au plus haut niveau. Je cherche à aller en national et pourquoi pas plus haut. C'est un rêve bien sûr, mais il faut travailler pour ça.
Que préfères-tu dans ton rôle d’arbitre officiel ?
J’aime faire respecter le jeu. Que ce soit sur le terrain ou en dehors, avec les joueurs, les coachs, tout ce qui englobe une rencontre de basket ball, c'est ça que j'aime dans l'arbitrage. Mon objectif est que la rencontre se passe bien.
Quelles qualités faut-il pour être un bon arbitre ?
La communication est importante. Il faut savoir communiquer avec les différents acteurs. Si on se renferme sur soi-même et qu'on ne veut plus communiquer, alors la rencontre va être difficile. Il faut être souriant, il faut aimer ce qu'on fait surtout. Ça c'est le principal. Si les joueurs, les coachs voient un arbitre souriant qui leur expliquent les situations, ça donne envie de bien jouer, de respecter les arbitres.
Quel est l'aspect le plus compliqué en tant qu'arbitre officiel ?
C’est de se faire respecter sur le terrain. Aujourd’hui, il y a des arbitres de plus en plus jeunes. Lorsque l’on arbitre des matchs séniors avec des joueurs entre 25 et 35 ans, faire respecter les décisions est plus compliqué. Il faut avoir une bonne prestance, être sûr de soi. Il faut bien communiquer et poser des limites claires sur le jeu. Ces actions visent à maintenir un cadre respectueux.
En tant qu’arbitre officiel, tu es rémunéré. Est-ce un plus pour toi ?
Ça arrondi les fins de mois, mais je le fait par passion. Je voulais faire la formation depuis longtemps. Ce n’est pas pour l'argent, mais pour prendre du plaisir à arbitrer que je suis devenu un arbitre officiel. La rémunération aide car on fait beaucoup de kilomètres pour aller sur les rencontres, mais ce n'est pas l'enjeu premier.
Si je dois arbitrer des rencontres qui ne sont pas rémunérées, ça ne me dérangera pas. Je me propose, parfois, pour des matchs qui sont à Laval ou aux alentours de chez moi sans être payé. Cela me fait de l'expérience et me permet de prendre du plaisir.
Un dernier mot ?
Tous ceux qui souhaitent se lancer dans l'arbitrage, n'hésitez pas. C’est vraiment une bonne expérience à vivre, même si vous arrêtez après, vous en sortirez grandi.
Si toi aussi tu es passionné de sport, rejoins le bachelor management du sport de Win Sport School Laval.
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